

Dès lors, l'émission acoustique apparait plus pratique d'application sur le site que d'utilisation dans les essais de laboratoire. La principale constatation est que le phénomène de microfissuration se produit pour une fraction plus faible de la résistance maximale dans le cas des composants de grandes dimensions que dans le cas des éprouvettes d'essai de petites dimensions. Ainsi qu'on peut s'y attendre, l'amorcage d'une macrofissure et l'instabilité finale se produisent plus tôt lorsque le coefficient de variation s'accroit et lorsque la dimension de l'élément augmente.

Pour la première microfissure, ces conditions donnent une distribution asymptotique des valeurs extrêmes du troisième ordre. Les distributions sont supposées augmenter comme une certaine puissance de l'excès de la résistance au delà d'une certaine limite inférieure. On a utilisé la valeur de V jk pour étudier l'interaction moléculaire entre les composants jth et kth en présence des ith composants de ces mélanges de ( i + j + k).Des méthodes analytique et numérique ont été développées pour déterminer comment la formation d'une macrofissure fragile dépend de la distribution de la résistance moyenne et des facteurs d'intensité des contraintes critiques de segments de frontières de grain. On a également utilisé les données de pour obtenir, via l'approche de Mayer–McMillan, les coefficients d'interaction du volume et du covolume V jj, V kk, V jk, V jjk et V jkk. On a observé que les données de prédites par l'approche de la théorie graphique qui utilise la courbe théorique des coefficients d'interaction binaire α ij, α jk, et α ki s'approchent d'avantage des valeurs expérimentales correspondantes que les valeurs de prédites par la théorie de Lacombe et Sanchez χ ij, χ jk et χ ki des mélanges de ( i + j), de ( j + k) et de ( k + i). On a déterminé les volumes molaires en excès de quelques mélanges ternaires ( i + j + k) de non électrolytes, par dilatométrie à 298,15 et 308,15 K et on les a analysés ( a) en fonction de la théorie de Lacombe et Sanchez et ( b) en fonction d'une approche basée sur la théorie graphique qui utilise l'information relative à ( i + j), ( j + k) et ( k + i) des mélanges binaires seuls. V jjk, and V jkk and the V jk values have been utilized to study molecular interactions between the jth and the kth components in the presence of the ith component of these ( I + j + k) mixtures. The data have also been utilized to extract, via the Mayer–McMillan approach, self and cross volume interaction coefficients V jj, V kk, V jk.

It has been observed that the data predicted by the graph theoretical approach employing the graph theoretical binary interaction coefficients α ij, α jk, and α ki compare better with the corresponding experimental values than the values predicted by Lacombe and Sanchez theory utilizing Lacombe and Sanchez's binary interaction coefficients χ ij, χ jk, and χ ki of the ( i + j), ( j + k), and ( k + i) mixtures. Molar excess volumes,, of some ( i + j + k) ternary mixtures of non-electrolytes have been determined dilatometrically at 298.15 and 308.15 K and the same have been analysed in terms of ( a) Lacombe and Sanchez theory and ( b) an approach based on the mathematical discipline of graph theory utilizing information on the ( i + j), ( j + k), and ( k + i) binary mixtures alone.
